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Tels les maillons
D’une chaîne sans nom
La meute se déplace
Chacun sa place
Ce n’est pas tant leur singularité
Que l’indéfectible unité
Qui lie ses éléments
Contre marées et vents
Se regrouper
Rester soudé
Protéger les louveteaux
Tuer s’il le faut
Du fond des âges
Voici l’adage…